samedi 29 septembre 2012

Un succès inattendu.

Vous vous en souvenez, mon imprimante ne marchait plus.
Il s'agissait d'une hp psc 1315 tout-en-un premier prix achetée environ 70 euros il y a plus de sept ans. Autant dire qu'elle m'a bien servi et qu'à part le prix astronomique de ses cartouches d'encre, je n'ai jamais eu à m'en plaindre.
Mon hp psc 1315 à moi.
   Mais voilà, elle ne voulait plus imprimer. Elle clignotait en rouge en me disant vérifier papier, alors que tout allait bien de ce coté là. Plus étrange, le chariot d'impression se bloquait sans raison en début de parcours. Le scanner, lui fonctionnait parfaitement. Forcément, j'ai direct accusé l'obsolescence programmée. Imaginez mon dilemme : racheter un-tout-en-un et jeter un scanner en parfait état de marche, où ne racheter qu'une imprimante, et me retrouver avec un scanner relativement volumineux encombrant mon bureau... Avant de faire une folie dans l'une ou l'autre de ces directions, j'ai voulu la démonter pour essayer de comprendre ce qui n'allait pas. Mais voilà, comme de par hasard, les vis présentes aux quatre coins étaient ni droites, ni cruciformes, mais hexagonales ! Imaginez un peu ma détresse ! Enterrer une fidèle amie morte brutalement de façon inexpliquée sans même pouvoir l’autopsier ! Heureusement, Pidem a pu emprunter à son travail des espèces de clés Allen parfaites pour enlever les vis en questions. Notons que pendant le démontage, je me suis mis de l'encre partout : de l'encre fuyait par les interstices en plastique du dos de l'imprimante. Le démontage en lui même s'est bien passé. A part le coup du pas de vis spécifique, nulles difficultés.
   Pour bien comprendre la situation, sachez qu'une imprimante jet-d'encre doit régulièrement purger ses têtes d'impressions pour ne pas dégueulasser les feuilles à chaque passage du chariot. Cette purge a lieu au dessus de deux petites éponges, en général situées sur un des cotés de l'imprimante. Ces éponges sont assez sous dimensionnées, et au bout de sept ans d'usage modéré, elles étaient pleines à craquer. Du coup, par capillarité, l’excès d'encre s'est propagé un peu partout dans l'imprimante. Il y en avait entre autre, mais pas que là bien au contraire, sur une pièce critique : un petit réseau en en plastique suspendu de part et d'autre de  l'imprimante, servant de repère au chariot d'impression, afin qu'il ne se perde pas.
En jaune, le petit réseau en plastique tout sale.
   Du coup : l’excès d'encre dans la poubelle de purge s'est propagé un peu partout, dont sur cette pièce optique nécessaire, brouillant les repères  résultant en une désorientation complète du chariot d'impression, qui, n'y comprenant rien renvoie Bourrage papier (bin oui, c'est un peu bête un chariot d'impression, déjà qu'il arrive à se perdre sur une ligne droite...).
   Remède appliqué :
-Nettoyage de l'encre au coton avec un peu d'alcool. Nettoyage en particulier du réseau de guidage.
-Inversion des éponges de purges pour qu'elle puissent encore absorber l'encre purgée.
-Revissage des non-vis.
Résultat, guérison immédiate !
Du coup, nulle obsolescence programmée derrière tout ça (si ce n'est les pas de vis et le sous dimensionnement des éponges de purges...), et j'ai de nouveau une imprimante ! J'ai donc pu imprimer le George de la semaine dernière et le colorier avec mes jolis pastels.
Gorge essaye d'avancer.
Comment ça il était plus joli sans la couche de pastel ?

NON.

samedi 22 septembre 2012

George fait son premier pas.

Il y a des semaines, comme ça, où on avance un peu moins vite...
Espérons que ce ne soit que provisoire... Quoique je vais bientôt acheter Guild Wars 2, ça va pas me faire du bien. Déjà que je dois finir Black Mesa.


George en crayon, en pixel et en couleur ! (De gauche à droite, :p )


 Les habitués noterons l'absence de la surcouche de pastel habituelle. C'est la faute de mon imprimante : elle n'imprime plus, du coup je ne peux pas décalquer... Alors tant que je n'ai pas racheté une imprimante, plus de pastel !

samedi 15 septembre 2012

Parlons peu, parlons bien.

Cette semaine j'ai été malade (rien de grave, hein, juste un rhume). Du coup j'ai rien fait pour NATD. Alors je vais meubler un peu.
Figurez-vous que dans NATD, il y aura des dialogues entre les différents protagonistes. Vous vous dites alors tous : Bon sang ! Mais il faut donc un curseur spécifique pour lancer les-dits dialogues !
Et bien oui, il faut. Et d'ailleurs il est fait. Il est même animé ! Si, si, si. Le voila :

Le curseur pour dialoguer.
 Bon, j'espère que je serai plus productif la semaine prochaine, sinon la démo n'est pas prête de sortir...

vendredi 7 septembre 2012

George est de droite.

Tadam !
Admirez l'intelligence se dégageant de son regard déterminé.

Pour vous faire rire un peu, je vous mets quand même les différents brouillons précurseurs. Bonus, il y en a un qui n'est pas de moi mais de Pidem. Saurez-vous trouver lequel ?

Que de George ! Heureusement qu'ils ne montent pas tous dans le bateau.